DJOUAD-GUIBERT Alain – le LIVE

Live Décembre 2016

« Alain DJOUAD-GUIBERT, ici le nom a une importance. Il pourrait écrire un livre. Cependant l’histoire est en cours. En effet après une accolade lourde de sens nous nous retrouvons dans une boutique bio pour manger à sa façon. TRIATHLETE IROMAN HYGIENISTE, il développe une approche sportive qui surement sera le quotidien des sportifs de haut niveau dans 30 ans. Déjà Là, à l’écouter je sais qu’il va encore déranger. Son monde, sa vision, ses attentes, son objectif sont plein de bon sens. OUI mais! OUI toujours ce MAIS! Alors imaginons un ET, « et comment on fait Alain? Face à tant de lobbyings, d’habitudes ? » IL va me répondre comme quand il a mesuré les travers du cyclisme « IL FAUT FONCER DANS LE TAS, QUITTE A SE METTRE EN DANGER ». Comment peut-on en arriver à fonctionner comme cela ? Enfant battu, une mère prof, un père qui deviendra malade à cause des produits chimiques, un frère brillant scolaire (HEC) le décor est planté. Il lui fallait un défouloir ce fut le vélo. Une lourde chute aurait dû le décourager, il se relèvera et foncera pour exister au CREC. En chambre avec « Lardin » il sera d’autant plus marqué par sa chute mortelle que lui avait chuté lourdement 1 mois avant. En résilience sa promo a souhaité faire une National junior (la 1ère d’une longue série) ET il a gagné la reconnaissance nationale. A partir de Là il était en route vers son objectif pour changer le monde. Avant de rire, attendez la suite ! Il quitte le CREC intègre le Pôle France de Nancy et crée en 1997 une association de dopage (avec comme parrain mon ami de l’époque Gilles Delion), qui en 1999 lui ouvrira les portes du ministère des sports pour réfléchir à des solutions. Cette commission proposera LE suivi longitudinal que tous les sportifs H.N. du monde pratiquent aujourd’hui ! Parallèlement il espère passer pro. Son attitude ouvertement hostile contre la triche qui détruit notre sport lui attirera des ennuis. Une chute «attentat» lui fera quitter son rêve. Il galérera pour obtenir sa carte de journaliste, travaillera avec Elise Lucet, espérant changer le monde. IL comprend que sa place n’est pas Là, alors les plus gênés finissent toujours par partir. Il est parti faire des voyages et une conversion plus tard il pose ses valises au Maroc. Il a construit son nid. Je crois qu’il a trouvé ses terrains d’expressions avec une approche différente de la vie, qu’il partage volontiers dans son lieu. Alors Alain, oui tu es nécessaire à la société car tu nous amènes à réfléchir, à faire un choix : suivre les autres ou être acteur de sa vie. Comme tu dis être mort ou vivant, puisse chaque crecman être vivant dans cette société qui montre des signes de maladie. Tu as raison, Le Docteur prescrit des médicaments et souvent nous devrions chercher en nous des remèdes. En attendant la bonne vague, ALAIN continue de surfer dans les mers Bleues. MERCI de ce moment. » Benoît Carré

« Merci à toi d être venu jusqu’à moi. Une amitié sincère nous lie et ça sera jusqu’à la mort ! A bientôt  » « Crecmen Crecwomen; il est temps de reprendre du service. Nous avons besoin les uns des autres nous avons besoin de créer notre réalité notre monde un nouveau monde. La société va mal très mal. Je pense que nous devons porter bien plus haut les valeurs que nous avons cultiver au crec. Je m évertue à le faire quotidiennement en allant encore bcp plus loin. Nous sommes responsables de ce qui nous arrive et du monde dans lequel nous vivons. L heure est aux choix L heure est à l action. Pour ceux et celles qui souhaitent en savoir plus je vous invite à suivre ma page hygiéniste. Pas de pub personnelle mais une réflexion pour nous tous sur un projet commun futur pourquoi pas. » Alain Djouad-Guibert